Postformation : psychopathologie d'orientation psychanalytique

Postformation : psychopathologie d'orientation psychanalytique

Delen

Cette formation vise à transmettre des connaissances théoriques et des compétences cliniques d'orientation psychanalytique.

Werkend zoals gewoonlijk

22/02/2023

Conférence de Guy Poblome à la La Cité Miroir, en direction du 7e Congrès Européen de Psychanalyse, PIPOL 11 intitulé "Clinique et critique du patriarcat".

17/09/2022

Les Ateliers du 94 organisent en collaboration avec la HEH-Mons et les institutions partenaires d'Autismes et Inventions (Le Courtil, La Coursive et l'Antenne 110) une formation certificative en psychopathologie et clinique psychanalytique en institution. Il s'agit d'une formation à l'adresse des bacheliers éduc. spé., assistants sociaux, infi, logo, et autres. Elle est composée d'un cours théorique (les lundis de 18h à 20h), d'un stage d'une centaine d'heures dans une institution partenaire et de la rédaction d'un TFA consistant en la rédaction d'un cas clinique. Merci de partager.

Photos from Postformation : psychopathologie d'orientation psychanalytique's post 18/08/2022

L'antenne de Liège de la Section clinique vous presente la thématique de l'année : Délirer, ainsi que son nouveau Séminaire de lecture, qui précédera le cours et la présentation de cas clinique à l'hôpital la Clé.

Plus d'informations dans le folder ci-joint.

Si vous désirez des folders papiers pour distribuer dans vos institutions, vous pouvez m'adresser votre demande à l'adresse suivante : [email protected]

21/11/2021

23ème Conversation du TyA le 05/02/2022

Inscription : https://my.weezevent.com/23eme-conversation-du-tya-a-bxl-ce-dont-on-ne-guerit-pas

"Il y a en chacun une part dont on ne guérit pas. Chacun est, dit Lacan à la fin de son enseignement, "empêtré" des conséquences des traces du langage: "On apprend à parler et ça laisse des traces. Ça laisse des traces et de ce fait, ça laisse des conséquences" (Lacan, J. Le Séminaire, livre XXV. Le moment de conclure. 10 janvier 1978. Inédit). Ces conséquences sont ce dont on ne guérit pas.

Certains sujets disposent pour s'en défendre de ce que l'on appelle en psychanalyse un fantasme. Celui-ci leur donne un sens, les habille, et du coup, les encapsule, les réduit. Pour d'autres, elles sont à ciel ouvert, dénudées - comme on le dirait d'un fil électrique - et se manifestent telles quelles, se réalisent dans le réel, se réelisent.

La clinique des patients dits toxicomanes ou alcooliques qui s'adressent à nos institutions de soins relève essentiellement de ce deuxième cas de figure. Si elles sont toujours singulières, les conséquences qui se manifestent chez ces sujets les excluent du lien social ou les y inscrivent d'une façon particulièrement ravageante. Le recours de ces patients aux drogues et à l'alcool est une tentative de les "traiter". Par le signifiant: la drogue peut donner un sens à ces conséquences, être mise par eux en place de cause de celles-ci, les expliquer. Par la consommation: la drogue peut leur permettre de rompre - le verbe est de Lacan - d'avec ces conséquences.

Quelle place faisons-nous dans la prise en charge de ces patients à ce dont ils ne guérissent pas? Dans notre lecture de leur situation? Dans notre lecture de ce qui les pousse à s'adresser à une institution et à y revenir, souvent de nombreuses fois? Dans leur orientation en termes de lieux de vie et d'insertion dans le tissu social? Le sevrage ou la mise en place d'un traitement de substitution peuvent limiter le recours à la consommation de drogues et de l'alcool, et le risque mortel fréquemment inhérent à celle-ci. Mais ils laissent, s'ils sont une fin en soi, le sujet en plan avec ces conséquences. C'est là qu'un accompagnement sur mesure s'impose. Que produit celui-ci? Permet-il de trouver, d'inventer un traitement alternatif, un autre savoir y faire avec celles-ci? Ou changent-elles de statut dans le fil d'accompagnement?

C'est à ces questions que nous essaierons de répondre à partir de la présentation et la discussion de trois situations cliniques."

Pour tout renseignement: [email protected]

Comité d'organisation: Hélène Coppens, Céline Danloy, Marie-Françoise De Munck, Vic Everaert, Simon Flemal, Jean-Marc Josson, Nadine Page, Amandine Seifert

21/11/2021

Cette soirée est organisée et soutenue par un cartel : Philippe Bouillot (plus un), Antoine Cahen, Michel Gheude, Monique Kusnierek, Katty Langelez-Stevens et Alexandre Stevens

Katty Langelez-Stevens prendra appui, pour introduire cette soirée Zadig consacrée à la liberté d’expression, sur le texte de l’intervention de J-A Miller à l’Ecole espagnole. Il y fait suite à ce qu’il a développé dans son livre Polémica política[1] en référence à l’ouvrage de Monique Canto-Sperber et à l’une des thèses qu’elle y soutient : « si la liberté d'expression doit être sauvée, c'est que le débat public est menacé par certaines formes d'intimidation qui laissent la justice impuissante »[2]. M Canto-Sperber vise certaines pratiques d'activistes mises au compte, souvent rapidement, d'une "culture woke" ou d'une "cancel culture" qui suscitent de nombreuses controverses.
Philippe Bouillot s’attachera ensuite à éclairer l'origine de ces mots et leurs utilisations. De quelles menaces parle-t-on et quelles réponses appellent-elle d'un point de vue analytique ? Le texte « Docile au trans » de Jacques-Alain Miller paru dans Lacan Quotidien 928 nous donne certaines clés pour répondre à ces questions.
Enfin, nous verrons, à partir de quelques vignettes cliniques, l'incidence de ces "cultures" dans la cure.
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[1] Jacques-Alain Miller, « Conversation avec l’Ecole espagnole du Champ freudien », La Cause du désir 108, pp. 34-55.
[2] Monique Canto-Sperber, Sauver la liberté d’expression, Albin Michel, 2021.


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La participation à cette soirée sera possible à la fois en présence pour un nombre limité de personnes qui le souhaitent, et par visioconférence.

Les participants souhaitant assister à cette activité en présence sont invités à remplir le formulaire d'inscription avant le 01/12 à 17h en sélectionnant le billet correspondant.

Nous attribuons les places par ordre d'arrivée, et au plus t**d le 01/12 à 19h00, aux inscrits ayant ainsi marqué leur préférence.

Tous les inscrits recevront un lien zoom personnel pour se connecter à l'activité.

https://my.weezevent.com/soiree-zadig-au-nom-de-la-liberte-dexpression-chuuut

Photos from École de la Cause freudienne's post 13/11/2021

À ne pas manquer : STUDIO LACAN !
Aujourd'hui à 18h30 !

Photos from École de la Cause freudienne's post 09/11/2021
"La psychiatrie française s’est en partie étiolée depuis 30 ans sous l’influence américaine" 04/11/2021

Voici un article qui pourra alimenter nos discussions, en présence du Dr Gouzou, psychiatre à Liège.

Infos sur la post-formation & pré-inscription à la session 2022-2023 : [email protected] - 0496.84.81.84

"La psychiatrie française s’est en partie étiolée depuis 30 ans sous l’influence américaine" Au lendemain des Assises de la santé mentale et de la psychiatrie en France, les professionnels du secteur jettent un regard sans complaisance sur leur spécialité, passée de "pionnière et innovante" …

25/10/2021

Lundi 8 novembre, à 20h, soirée ciné à Liège, en direction des en présence de Daniel Pasqualin!

Cinéma Churchill
Rue du Mouton blanc, 20
PAF: 5,70 euros
Inscription auprès de Jean-Philippe Cornet au 0471/703.274 ou par mail à [email protected]

21/10/2021

Lundi 8 novembre, à 20h, soirée ciné à Liège, en direction des en présence de Daniel Pasqualin!

Cinéma Churchill
Rue du Mouton blanc, 20
PAF: 5,70 euros

Lundi 8 novembre, à 20h, soirée ciné à Liège, en direction des en présence de Daniel Pasqualin!

Cinéma Churchill
Rue du Mouton blanc, 20
PAF: 5,70 euros
Inscription auprès de Jean-Philippe Cornet au 0471/703.274 ou par mail à [email protected]

17/10/2021

La musique du symptôme
Par Dominique Holvoet

L'institution avec ses routines, ses usages et ses règlements peut tourner sans la psychanalyse. Elle répond alors à la logique du collectif selon Freud, logique totalisante de l'identification horizontale ou chacun fait comme l'autre au regard d'un idéal aujourd'hui protocolisé dans de pseudo bonnes pratiques asséchées de tout désir. On s'y perd, on y erre, on s'y débat avec les symptômes aussi divers qu'il y a de diversités de sujets.

La psychanalyse n'ajoute rien à tout cela, plutôt produit-elle une extraction qui crée la surprise et redonne de l'air au sujet dans sa singularité radicale. L'écoute ne suffit pas, encore faut-il entendre la petite musique du symptôme de chacun pour s'y insérer comme partenaire.

Les concepts analytiques, aussi ardus soient-ils, offrent une boussole pour s'orienter dans la clinique : le transfert, la jouissance, l'objet pulsionnel, le sujet de l'inconscient sont le solfège de la musique du symptôme !

11/09/2021
11/09/2021

Les évènements tragiques du mois de juillet en province de Liège ont amené de nombreux travailleurs sociaux à venir en aide aux personnes sinistrées par les inondations.
Plusieurs collègues du « champ psy » se sont demandés ce qu’ils allaient pouvoir dire aux sinistrées. Ils pensaient nécessaire d’être formés « aux troubles post-traumatiques ».
En aucun cas, la possibilité de la psychanalyse ne fût ni évoquée, ni même envisagée. Or, la psychanalyse est née avec la question du traumatisme dès 1895 dans l’Esquisse d’une psychologie scientifique. Freud y relate la cure d’une jeune femme, Emma qui présentait une phobie des magasins suite à un évènement traumatique.
Dans ce cas, Freud déplie la scène traumatique en deux temps et le deuxième temps est la conséquence d’une énigme rencontrée par le sujet dans le premier.
Freud isolera le concept « d’après coup traumatique ».
Le trauma percute le sujet à un moment où il n’a pas les mots pour saisir ce qu’il lui arrive. La lecture de l’évènement traumatique est à repérer au niveau de l’histoire singulière du sujet.
L’autre apport considérable de Freud se trouve dans « Au-delà du principe de plaisir » de 1920.
Dans cet ouvrage, Freud, au contact des « traumatisés » de la grande guerre et des jeux répétitifs des enfants, remet en cause sa théorie sur le principe de plaisir.
Ce sera le grand tournant de la psychanalyse et le plus difficile à accepter pour ses élèves, car Freud démontre là que l’homme n’agit pas pour son bien !
On pourra nous reprocher que ces notions sont datées et que depuis, la science a fait des progrès. Mais la psychanalyse, elle aussi, a continué à vivre et à se développer.
C’est à ce titre que le livre de Sonia Chiriaco, le désir foudroyé, sortir du traumatisme par la psychanalyse, est un témoignage important pour toute personne qui s’intéresse à la question du trauma. La thèse principale du livre qui n’est rien d’autre que le pari de la psychanalyse, est de toujours supposer un sujet derrière la victime : « un sujet pétri par l’histoire qui l’a précédé, par les signifiants qui le désignent et ce, même s’il semble avoir disparu sous le trauma (…) plutôt que l’événement lui-même, il met en évidence ce que le sujet en aura fait. Et personne d’autre que lui ne saura le dire à sa place ».
Le traumatisme renvoie à la radicale solitude du sujet, à une déchirure dans son monde sans qu’il y soit préparé :
« Cet événement inassimilable renvoie le sujet à la détresse fondamentale du tout petit enfant, fragile et sans défense quand il se retrouve seul, loin de l’Autre protecteur dont il dépend absolument. Il laisse apparaître un abîme insondable. Le traumatisme est par excellence la rencontre avec l’impossible ».
Sonia Chiriaco introduit son livre par l’histoire d’une jeune femme qui perdit tout dans l’incendie de sa maison. Après le traumatisme, les pleurs, les récits, les cauchemars, l’angoisse, elle ne retrouva plus jamais sa gaieté et ce qui faisait sa joie de vivre.
L’analyse pu révéler que sa plus grande perte était une photo d’elle, enfant, souriant à la personne qui l’avait prise en photo, son père disparu quelques années auparavant sans qu’elle ne le pleure.
Cette photographie était tout ce qui la rattachait à son bonheur perdu, elle était sa réserve de libido qui lui permettait de tenir dans la vie.
Avoir isolé ce point lui permit d’entamer un travail de reconstruction psychique qui lui permit de sourire à nouveau à ses proches.
Entreprendre une psychanalyse est avant tout un acte qui permet de se confronter aux conséquences de son énonciation et d’être responsable de ce que l’on dit.
Cela entraine de ne plus se confondre avec le statut de victime, de trouver son implication subjective derrière l’événement traumatique et de pouvoir ainsi se reconstruire à partir de ses propres signifiants.
« Ce travail amène à repérer les identifications, à les desserrer, à rendre moins douloureuses les expériences vécues ; il amoindrit la valeur mortifère des événements et des mots qui ont blessé. Alors seulement, le sujet pourra se réconcilier avec sa jouissance la plus intime que l’analyse lui aura fait approcher ».
L’auteur illustre ses propos à partir des témoignages de personnes traumatisées qui auront fait le pas d’entreprendre une analyse et ainsi sortir de « l’horreur un jour rencontrée . »

Julien Wiliquet

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