Institut Per-aâ n Imhotep

En quoi consiste le patriotisme, c'est-à-dire l'amour pour son pays ?

J'entends souvent les gens dire :

« Tu crois que tu peux changer les choses tout seul ? »

Et bien, je réponds que le changement dont il est question est avant tout individuel et personnel (intérieur) avant d'être collectif (extérieur).

Être patriote suppose et exige que chacun(e) fasse ce qu'il a affaire là où il est en donnant le meilleur de lui-même de sorte que toute personne qui passe par-là, retrouve les traces de l'excellence, de la probité, de la sagesse, de l'amour de soi-même et du prochain,
et de l'élévation spirituelle. Ainsi le médecin doit exceller dans son art de soigner sans oublier que c'est Dieu qui guérit. Le mécanicien doit transformer les pannes de la voiture en pièces de sécurités. L'enseignant doit faire de l'élève le gage d'une société où chacun(e) respecte et protège les biens publics à l'échelle nationale. Le couturier doit confectionner les vêtements sans oublier que le fil qui lui permet de rassembler et mettre en commun plusieurs morceaux du même tissu, c'est l'image du rassembleur qui milite pour la paix, etc.

Être patriote signifie qu'à l'instar du colibri, chacun(e) doit bien faire sa part sans oublier que nous rendrons compte individuellement au Tribunal Divin le moment venu, car personne n'échappe à la Justice Divine, ni le père ni la mère ni même les enfants.

Être patriote suppose et exige de comprendre que c'est l'individuel qui fait le collectif. Ce dernier ne fait que renforcer le premier en ce sens qu'il le dope et lui permet de se surpasser et de réaliser les exploits que chacun(e) n'aurait jamais pu le faire étant pris individuellement.

Être patriote suppose et exige de réaliser les prouesses scientifiques et techniques en élaborant des concepts inspirés et propres à son paradigme, en faisant de sa culture, de ses Humanités classiques et la spiritualité (respect des Lois de la Création) les moteurs et les socles de l'affirmation de sa volonté de puissance (confère les travaux du Savant Kamit Mbombog Mbog Basson).

Être patriote suppose et exige d'être en Harmonie et en Équilibre avec les valeurs cardinales de l'UBUNTU ; "d'être un serviteur de
la Maât" (Justice-Vérité) en tout temps, en tout lieu et en toute circonstance et se tenir prêt jusqu'au sacrifice suprême pour défendre sa patrie contre l'imposture, la félonie (trahison), la mise en danger de la vie (Ânkh), le saccage des biens publics à l'échelle nationale, la destruction de son environnement de vie, etc.

Être patriote suppose et exige d'être en Harmonie et Équilibre avec les Forces de la nature de son environnement de vie (les Élémentaux), avec ses Ascendants (Ankhcêtres) et les génies tutélaires communautaires.

Être patriote suppose et exige d'être loyal envers soi-même (et ses principes de vie), et envers sa nation. Voilà pourquoi le patriote doit (sur)cultiver l'Intégrité, la Fidélité, l'Honnêteté, la Dignité et la crainte de Dieu.

Être patriote suppose et exige d'accueillir l'étranger sur sol avec amour, respecter sa vie et sa dignité, protéger ses biens, créer les conditions qui assurent sa sécurité et lui permettent d'exprimer ses talents en toute sérénité.

Être patriote suppose et exige d'être fier d'appartenir à une communauté de vie valorisante pour tout un chacun.

Ce que j'ignore est plus grand que ce que je connais.

Tant p*s pour les personnes qui ne lisent que la Bible et/ou le Coran, qui regardent le doigt quand on leur montre la Lune et qui se plaignent ensuite qu'on ne leur a pas bien montré.

Le moment venu, personne ne dira qu'il n'a pas été prévenu.

Je fais ma part en donnant le meilleur de moi-même.

Que ceux qui ont des yeux pour entendre, "entendent". Que ceux qui ont des oreilles pour voir, "voient". Qu'ayant "vu" et "entendu", qu'ils agissent en conséquence pour ne pas se retrouver sur le chemin du trop t**d.

Vanité des vanités, tout est vanité.

Vie, Santé, Force !

Le néo-patrimonialisme au Cameroun

Si au Canada par exemple, il y a un ministère de l'agriculture, au Cameroun, l'agriculture au sens large est divisé en quatre ministères distincts (le ministère de l'agriculture et du développement rural, le ministère de l'élevage, des pêches et des industries animales, le ministère de la forêt et la faune et le ministère de l'environnement et la nature). Une façon de partager les prébendes entre les copains-Fraters locaux nègres.

Quant au ministère de l'éducation nationale, il est réparti en quatre ministères : l'éducation de base, les enseignements secondaires, la formation professionnelle et l'enseignement supérieur. Plusieurs autres exemples peuvent être cités pour évoquer le caractère élargi de la « mangeoire » et la possibilité de faire de savants dosages clientélistes dans le recrutement ministériel. Par ailleurs, plusieurs ministères dépendent directement de la présidence, c'est le cas de la défense, du contrôle supérieur de l'Etat, des relations avec les assemblées (chargé de mettre au pas les députés et dicter les ordres de Biya), de la sécurité publique (la délégation générale à la sûreté nationale) et des chargés des missions.

On se doute bien que l'effectif pléthorique de ministres paralyse l'action gouvernementale. Certains ministres reçoivent leurs directives du PRC, même si le 1er ministre est considéré comme le chef du gouvernement. Plusieurs ministres ne savent quelles injonctions appliquées : celles du 1er ministre ou celles des services de la présidence (le secrétaire général de la présidence étant considéré comme le 1er ministre bis). Par ailleurs, depuis le 3 juillet 2009, il n'y a pas eu de conseil ministériel présidé par Biya. Pour le politologue E-M Owona-Nguini, « l'absence de conseils ministériels ne favorise pas la lisibilité de l'action gouvernementale, ni celle des départements ministériels.» En effet pour lui, «l'absence de tenue des conseils des ministres au Cameroun tient du fait que le président de la république considère le conseil des ministres comme une institution coutumière. Dès lors, il n'est pas très important de lui accorder une grande régularité.»

Enfin, au sujet de la nomination des ministres, le journaliste et politiste Ndzana-Seme, affirme que la seule logique qui anime Biya dans le choix d'un ministre est essentiellement clientéliste. Il affirme par exemple que bon nombre de ministres dans le cabinet du 8 décembre 2004 auraient eu à débourser de lourdes sommes d'argent pour obtenir la signature de Paul Biya. En effet selon J.-F. Bayart l'accès au pouvoir d'Etat dans un régime néopatrimonial est également l'accès aux ressources matérielles et morales de cet Etat. Pour lui, «l'appareil d'Etat est en soi un morceau de ce gâteau national » et un espace de coercition.

Quand est-il de la gestion de la manne financière ? Le Cameroun est en effet considéré comme l'un des plus corrompu de la planète par de nombreuses organisations internationales.

La main qui fait le dépôt et la main qui fait le retrait : Que chacun(e) récolte en retour ce qu'il a semé au centuple !

Si Niat Njifendi est encore debout et à son poste, pourquoi dois-je douter ?!

Lu sur la page Facebook de "African Queen".

COMMENT S'EXCUSER AUPRÈS DE SON CONJOINT

1. Ne justifiez pas votre erreur. Acceptez que vous avez eu tort

2. Ne séduisez pas votre conjoint en espérant que le sexe lui fera oublier le mal que vous avez fait et que vous pourrez éviter de vous humilier pour vous excuser.

3. Ne reprochez pas à votre conjoint de vous avoir fait faire quelque chose de mal. Soyez un adulte. Assumez la responsabilité de vos actes

4. N'envoyez pas vos amis, votre famille ou vos frères et sœurs s'excuser en votre nom. C'est de la lâcheté. Faites face à la personne à qui vous avez fait du tort

5. Ne minimisez pas le mal que vous avez fait pour montrer à votre conjoint qu'il réagit de manière excessive. Si c'est important pour votre conjoint, considérez-le comme tel.

6. Ne commencez pas à énumérer les fautes passées de votre conjoint lorsque celui-ci vous confronte à votre faute actuelle. L'amour ne tient pas de registre des fautes.

7. Ne vous excusez pas sur les médias sociaux, ne mettez pas un message sur Facebook ou un statut WhatsApp en espérant que votre conjoint le verra sans rien dire en privé. Présentez des excuses personnelles et sincères

8. Ne balayez pas l'affaire et ne passez pas à autre chose comme si rien ne s'était passé, simplement parce que vous savez que votre conjoint vous aime. Ne mettez pas les choses sous le tap*s

9. Ne jetez pas de l'argent et des cadeaux à votre conjoint et ne faites pas de bonnes actions sans aborder la blessure que vous avez causée et le problème. La guérison ne s'achète pas. La guérison est émotionnelle et non matérielle

10. Ne vous excusez pas grossièrement en disant "Ah, d'accord, je suis désolé, si cela peut te permettre d'arrêter de te plaindre", simplement parce que votre conjoint vous a demandé des excuses. Montrez des remords sincères

11. N'attendez pas que votre conjoint ait décidé de divorcer ou de rompre avec vous pour laisser tomber votre ego et vous excuser. Il se peut que vous arriviez trop t**d

12. Présentez vos excuses

Le coq, un symbole riche mais trop discret
Marc Fiszman
Dans La chaîne d'union 2012/3 (N° 61), pages 34 à 41

Lorsque, profane, je fus admis à affronter ses épreuves devant conduire à mon initiation, la première qui m’advint fut d’être conduit dans un lieu faiblement éclairé et d’y être abandonné, muni d’un document que l’on me présenta comme devant être mon testament moral et philosophique. Bien sûr, la première chose que je fis fut d’examiner l’endroit où je me trouvais. Quantité d’objets divers, crâne, faux, sablier, sel, soufre et j’en oublie, des inscriptions ne m’inspirant rien et un magnifique coq associé à une inscription « vigilance et persévérance ». Que pouvait bien faire là ce volatile ?

Sur le moment, je ne suis pas allé plus loin dans cette interrogation, je me suis concentré sur le document qui m’avait été remis, j’ai attendu la suite des évènements et je suis devenu franc-maçon.

Ce n’est que bien plus t**d, repensant au cabinet de réflexion, que je me suis souvenu de mon interrogation et de la présence du coq. Alors, j’ai cherché.

Vagabondage dans la mythologie et les religions

Il m’est tout de suite apparu que le coq est un animal qui a été célébré dans de très nombreuses cultures. Et d’abord, il suffit d’ouvrir l’ancien Testament pour trouver sa trace. Ainsi, dans le livre de Job, trouve-t-on ce passage : « Qui a mis la sagesse dans l’ibis et l’intelligence dans le coq ? » (Job, 38, 36).

Pourquoi le coq serait-il un animal particulièrement intelligent ? Dieu seul le sait (si je peux me permettre de m’exprimer ainsi).
Il faut bien reconnaître que l’observation de la nature est plus immédiate pour nous permettre de comprendre pourquoi le coq a pu avoir une telle importance dans toutes les civilisations.

Rappelons-nous nos séjours à la campagne : quel est celui qui n’a pas été réveillé en plein milieu de la nuit par le chant éclatant du coq ? Qui plus est, une fois ne lui suffit pas, à peine avez-vous retrouvé le sommeil qu’il réitère et vous réveille à nouveau mais, cette fois-ci, il fait un peu plus clair et, généralement, il recommence encore quand il fait grand jour. De là à associer le coq avec la lumière et le soleil, il n’y avait qu’un pas qui a été très vite franchi.

Avant de nous intéresser au lien du coq avec la maçonnerie, voyons donc ce que l’histoire des civilisations nous apprend sur le coq, mais ce ne sera qu’un bref survol. Le mot « coq » viendrait de la racine celtique « kog » qui signifie « rouge », le rouge étant la couleur de l’aurore, mais aussi de la planète Vénus. Il symbolise le passage entre les ténèbres et la lumière. Coq et soleil sont étroitement liés puisque c’est à l’appel du coq que le soleil se lève. En d’autres termes, son chant annonce la résurrection quotidienne de l’astre du jour et préside à la défaite des ténèbres. Ces raisons expliquent facilement pourquoi le coq est un animal sacré dans quasiment toutes les civilisations.

La mythologie grecque nous conte que Ares, dieu de la guerre et fils de Zeus et de Hera, était l’amant d’Aphrodite mariée à Héphaistos. Héphaistos, prévenu par Hélios, surprendra les amants et les capturera en les prenant dans des filets. Lucien, dans « Le songe » nous raconte cette histoire en l’agrémentant pour y faire participer le coq :

Toutes les fois que Mars allait voir Vénus, sa maîtresse, il demandait à un de ses fidèles compagnons, Alectryon, de l’accompagner et de veiller à la porte pour le prévenir dès que paraîtrait le Soleil qui, s’il les surprenait, n’aurait pas manqué de prévenir Vulcain. Un jour, Alectryon s’étant endormi, le Soleil surprend Vénus et Mars reposant sans inquiétude, il va prévenir Vulcain qui enveloppe les deux amants dans des filets qu’il avait, depuis longtemps, préparés.

Aussitôt délivré, Mars se met en colère contre son ami et, pour le punir, le change en oiseau qui porte encore sur la tête l’aigrette rouge de son casque. C’est depuis ce jour que le coq chante, longtemps avant le lever du Soleil, pour prévenir les amants de son apparition imminente.

En Grèce, on pratiquait la divination par les coqs

Ne pas oublier qu’en grec ancien, Alektruwn signifie « coq », d’où le terme d’alectryomancie utilisé par les Romains pour désigner la divination par les coqs. Par ailleurs, on peut noter que, chez les Romains, le jour commençait vers le milieu de la nuit, ad gallicinium, c’est-à-dire au chant du coq – gallus était le mot latin pour désigner le coq. Le même mot désigne également les tribus barbares au nord de l’Italie dont le caractère fougueux et belliqueux rappelle celui du coq.

A côté de son aspect solaire, le coq est également l’attribut d’Hermès, Mercure pour les Romains. Dans son ouvrage sur le coq, Paul de Saint Hilaire propose que cette association viendrait de ce que la planète Mercure apparaît précisément en même temps et au même endroit que le soleil. Cette association à Mercure nous aidera dans notre analyse du rôle que le coq joue en maçonnerie.

Le coq est également associé à Asclépios (Esculape), le dieu de la médecine, et devient l’un de ses attributs, avec le caducée. Mais on ne saurait parler du coq sans mentionner son importance dans la symbolique chrétienne. Dans la religion chrétienne, le coq incarne le Christ annonçant le jour nouveau de la foi. C’est aussi le symbole de la renaissance ou plutôt de la résurrection. Le coq qui claironne et bat des ailes a été, dans les premiers temps du christianisme, pris comme emblème de la voix toute puissante du Christ-juge qui, à la fin des temps, annoncera la résurrection des morts.

Cette voix du coq a également été considérée comme la voix du Christ appelant les âmes à la prière. C’est ainsi que, dans certains monastères, il n’y avait que deux appels journaliers à la prière : le gallicinium, l’heure du coq, le matin, et le lucernarium, l’heure de la lampe, le soir. Quant au coq qui annonce et prophétise, n’oublions pas ce que dit Jésus à Pierre : « En vérité, en vérité, je te le dis, le coq ne chantera pas que tu ne m’aies renié trois fois » (Evangile selon St Jean,13, 36).

Enfin, dernière figure symbolique du coq dans le christianisme et qui est présente à nos yeux tous les jours, c’est le coq qui trône au sommet des églises, figure du Christ qui veille sur son Eglise terrestre et la protège.

Le coq est présent aussi dans la symbolique extrême-orientale. L’énumération que je viens de faire pourrait laisser penser que le coq n’est associé qu’à de la symbolique occidentale. Il n’en est rien et on le retrouve tout aussi symbolique et important dans toutes les civilisations extrême-orientales.

En Chine, l’importance du coq est avérée par le fait que c’est un des signes du calendrier, ce qui pourrait paraître étrange puisque, ce calendrier étant basé sur les cycles lunaires, le caractère solaire du coq ne semble pas évident. Par contre, on le retrouve dans les légendes chinoises où le coq est un animal bénéfique dont le chant fait fuir les démons qui ne peuvent survivre que dans les ténèbres. De même, c’est parce qu’il est considéré comme un messager des dieux qu’il a été associé à des techniques divinatoires.

Au Japon, empire du soleil levant (littéralement, Japon signifie racine du soleil), c’est le coq qui parvient à faire sortir la divinité solaire Amaterasu de la grotte où elle est cachée. Il est intéressant de noter que, pour y parvenir, l’ancêtre de tous les coqs a dû, non seulement utiliser la force de son chant mais aussi employer un miroir octogonal pour permettre de détecter les rayons cachés. C’est parce qu’il a une vue perçante que le coq peut déceler avant tout le monde le rayonnement caché du soleil et l’annoncer ensuite.

Dans la mythologie indienne, le coq apparaît comme la monture d’une série de divinités parmi lesquelles Skanda, dieu de la guerre qui personnifie l’énergie solaire. Enfin, le coq n’est pas toujours un symbole bénéfique. Ainsi, au Tibet, le coq représente un des trois poisons de la vie : la convoitise, la jalousie et la soif de pouvoir.

Le coq et la franc-maçonnerie

Après ce bref tour du monde de la symbolique du coq, revenons à nos moutons ou plutôt au coq et la franc-maçonnerie. Comme nous le rapellent nos rituels, qu’avons-nous demandé lors de notre première entrée dans le Temple ? La lumière !

Profanes, nous errons dans les ténèbres et qui, mieux que le coq, pourrait nous aider à trouver la lumière ? Mais attention, il ne suffit pas de regarder le coq ni même de l’écouter chanter. Cela, nous l’avons fait toute notre vie et nous sommes (peut-être) toujours dans les ténèbres. Il nous faut faire comme le coq. Il nous faut scruter les ténèbres avec vigilance et persévérance, comme le dit la sentence qui accompagne le coq dans le cabinet de réflexion. A nous de débusquer la lumière qui se terre au fond de la caverne. C’est là que les questions commencent à pleuvoir. De quelle lumière s’agit-il ? Quelle est cette caverne ? Comment s’y prendre pour débusquer la lumière ?

Le coq et le vitriol, symboles associés ?

Mais, à côté du coq et de la sentence « vigilance et persévérance », il y a aussi ce mystérieux VITRIOL. Ayant fait des études de chimie, pour moi le mot vitriol est limpide, c’est le nom populaire de l’acide sulfurique, ce produit corrosif que l’amant jaloux jette à la figure de sa maîtresse pour la défigurer et lui faire perdre sa beauté.

C’est clair mais ça ne fait aucun sens ni pour ce qui est du coq ni pour ce qui est de la maçonnerie. Il me faudra attendre d’être Apprenti pour découvrir que VITRIOL est un acronyme lié à l’alchimie et qui signifie : Visita interiora terrae rectificandoque invenies occultum lapidem. Inutile de traduire.

Par contre, en se plongeant dans la symbolique alchimique, on découvre que vitriol est également un nom qui désigne le produit final connu sous la dénomination de mercure philosophique. C’est ce mercure philosophique qui va donner naissance à la pierre philosophale.

Et c’est là que réapparaît le coq. En effet, le mercure philosophique est symbolisé par le coq. Quand à l’explication de cette représentation, on la retrouve dans la mythologie grecque. A côté du dieu Soleil, le coq est l’attribut d’Hermès, porteur du caducée, également connu sous son nom latin de Mercure. Le mercure philosophique est symbolisé par le Coq.

Ainsi le coq, associé à VITRIOL, est là pour nous inciter à creuser, non pas la terre comme le fait le coq sur son tas de fumier (Edmond Rostand, dans Chantecler, nous précise que, si le coq donne des coups de bec, ce n’est pas pour chercher des graines mais pour assurer et trouver la meilleure position avant de lancer son chant), mais en nous-mêmes. Rappelons nous la mythologie japonaise qui nous indique que, pour trouver et faire surgir la lumière, le coq a besoin d’un miroir.

Ce ne sont pas les entrailles de la terre qui apportent la lumière. La caverne au fond de laquelle se cache la lumière n’est autre que nous-mêmes et VITRIOL est là pour nous rappeler ce que les Grecs avaient inscrit au fronton du temple de Delphes : « Connais-toi toi-même et tu connaîtras les dieux et l’univers ». Quant au coq et son chant, peut-être ne sont-ils là que pour nous appeler au travail. Un dernier point, cependant m’intrigue.

Quand on voit la richesse symbolique associée à l’image du coq, comment se fait-il qu’une fois sorti du cabinet de réflexion, le coq disparaisse entièrement de l’environnement maçonnique ?

Une interprétation possible pourrait être que l’association coqapparition de la lumière est tellement forte que ce n’est plus un symbole. Il suffit de voir un coq pour savoir que les ténèbres sont vaincues. Peut-être que, si le coq était présent, nous aurions le sentiment de ne plus avoir à faire d’efforts pour sortir des ténèbres.

Ce serait comme si nous affirmions que, parce que nous avons été initié (ou plutôt que nous avons participé à une cérémonie d’initiation), nous devenions de parfaits initiés. C’est par son chant que le coq chasse les ténèbres Etant sorti du cabinet de réflexion, nos yeux se sont décillés et nous avons reçu la lumière. Bien entendu, une telle interprétation n’est qu’une coquecigrue !

C’est par son chant que le coq chasse les ténèbres, c’est par son chant que le coq appelle les ouvriers au travail et c’est en travaillant et en recherchant la vérité que l’Apprenti parviendra, peut-être, à trouver la lumière. Pour cela, écoutons et méditons sur ce que nous dit Vercors :

« Qui croit sans raison est un sot, Mais qui nie sans savoir est un fou, Cherche la vérité, tu trouveras la lumière.» (Contes des cataplasmes – Premier cataplasme, le génie des laumes)

1.https://www.cairn.info/revue-la-chaine-d-union-2012-3-pag

Malheureusement la sagesse ne se vend pas au marché. Malheureusement l'ignorance, l'orgueil, l'hypocrisie et l'effronterie sont les niaiseries les mieux partagées au monde. Heureusement que la Justice Divine existe. Heureusement que l'amour de soi-même est authentique, naturel, fidèle, loyal, vrai et gratuit.

Si vous ne luttez pas pour ce qui est juste, ayez au moins la décence de respecter ceux qui le font. Le lâche imbibé dans sa méchanceté ne perçoit par les rayons de lumière d'amour, de la bravoure, du courage et des sacrifices (suprêmes).

Très important !!

Quand la paresse mentale et spirituelle deviennent une "prison émotionnelle" limitant les capacités de développement personnel

Les personnes qui ne lisent que la Bible et/ou le Coran, qui regardent le doigt quand on leur montre la Lune et qui se plaignent ensuite qu'on ne leur a pas bien montré, justifient leur attitude en s'attaquant à la personne qui est plus instruite, plus cultivée, plus populaire, qui a plus d'argent, fruits de ses sacrifices, comme si c'était de sa faute qu'elles soient dans leur position de léthargie.

Voici leurs récriminations principales :

« Tu n'écoutes pas les autres. Tu n'as pas la science infuse. Tu parles trop. Apprends à doser ce que tu dis.»

Et lorsque la personne ciblée essaie de répondre de manière documentée et enrichie, n'ayant pas d'arguments solides à opposer, elles versent dans le dilatoire, les injures, la désinvolture langagière, la colère pouvant aller jusqu'aux attaques physiques.

Les gens ne vont pas régresser parce que tu as refusé d'avancer. Si tu tombes sur une personne qui n'a pas le temps à distraire pour des choses qui n'ont pas d'âme, alors aligne-toi ou retourne dans la distraction.

Ce que j'ignore est plus grand que ce que je connais. Je fais ma part en donnant le meilleur de moi-même.

Le moment venu, personne ne dira qu'il n'a pas été prévenu.

Vanité des vanités, tout est vanité.

INGETA !

Kareyce Fotso et concert de la bas et des bamilékés

Les dettes odieuses des fonds criminels trans-copains-Fraters mondialistes

Malgré les détournements massifs des fonds alloués pour la gestion du Covid-19, malgré l'audit du mois de juin 2021 de la chambre des comptes de l'Assemblée nationale mettant en lumière les détournements desdits fonds à hauteur de 180 milliards de franc cfa, malgré les multiples violations des droits de l'homme, perpétrés par les copains-Fraters locaux nègres du Cameroun, leurs homologues, les copains-Fraters mondialistes, continuent de ''vasculariser la gangrène camerounaise'' de la corruption, des crimes organisés sectaires et du rackettage des biens publics à l'échelle nationale, par l'octroie des sommes faramineuses qui sont remboursées par les populations misérabilisées et qui le seront encore par les générations futures.

Il est du devoir de la Nouvelle Génération Consciente et Patriote Panafricaine (NGCPP) d'identifier les fonds alloués par les institutions internationales du grands banditisme satanique y compris les fonds vautours, refuser de les rembourser puis mettre sur pieds un Tribunal panafricain de la ''dette'' afin d'établir les responsabilités partagées de la Fraternité arrogante, cupide, féroce et effrontée.

Le Fonds mondial a accordé un appui financier d’une valeur de 289 908 5321 euros (soit plus de 190 milliards de FCFA) au Cameroun en vue d’intensifier la lutte contre le VIH-sida, la tuberculose et le paludisme. Ce montant a été révélé le 24 avril 2024 à Yaoundé par le ministre de la Santé, M.Manaouda Malachie, lors de la première réunion statutaire du Comité national de lutte contre le sida (CNLS) pour l’année en cours. Selon le membre du gouvernement, les fonds alloués visent à financer les activités de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme et de renforcer le système de santé du pays, sur la période 2024-2026.

« Les sommes allouées ont été déterminées selon une méthodologie approuvée par le conseil d’administration du Fonds mondial et fondée principalement sur la charge de morbidité et le niveau de revenu. Le Cameroun est classé dans la catégorie des pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure » a déclaré le membre du gouvernement. Il a appelé à une gestion appropriée des sommes allouées.

« Le financement est toujours un problème important. Je pense pouvoir affirmer qu’aucun gouvernement ne dispose de ressources infinies et les demandes concurrentes sont si nombreuses qu’il faut souvent opérer à des choix difficiles. C’est pourquoi il est impératif que les fonds disponibles soient dépensés de manière avisée et efficace et pour les questions les plus importantes », a-t-il dit.

Il affirme que les fonds alloués seront en priorité destinés à « l’amélioration des conditions de vie des personnes vivant avec le VIH.»

Selon le Fonds mondial, le Cameroun enregistre des progrès significatifs en termes de prévention, de diagnostic et de couverture thérapeutique pour les trois maladies. Pour ce qui est notamment du VIH-sida, qui demeure une priorité de santé publique au Cameroun, les données du ministère de la Santé publique disent que le taux de prévalence au Cameroun est passé de 2,7% en 2018 à 2,1% en 2023. L’on note également que plus de 90 % des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut sérologique et parmi celles qui connaissent leur statut, presque toutes reçoivent un traitement qui leur sauve la vie, estiment les copains-Fraters locaux nègres qui brandissent ces chiffres pour voiler leur cleptomanie politique et sectaire. Les mêmes données révèlent que plus de 90 % des personnes sous traitement bénéficient d’une suppression virale.

Toutefois, bien que les résultats de la riposte à cette pandémie soient présumés globalement satisfaisants, sans couverture sanitaire universelle (CSU), comment peut-on atteindre les objectifs 95-95-95 de l’OMS (95 % des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut, 95 % des personnes chez qui le diagnostic a été posé reçoivent un traitement antirétroviral et la charge virale disparaît chez 95 % des personnes sous traitement d’ici 2025) ? Le ministre de la santé publique, M.Manaouda Malachie, fortement épinglé dans l'audit de la chambre des comptes de l'Assemblée nationale avec la création des sociétés fictives-écrans pour racketter les fonds anti-Covid-19, affirme que des « gaps » et des « insuffisances » persistent, notamment dans la coordination et la décentralisation des interventions dans les structures de soins, la délégation des tâches aux acteurs santé et non santé, la rétention du couple mère-enfant et des adolescents dans le continuum de soins, le diagnostic précoce et la gestion des intrants.

C'est l'hôpital qui se moque de la charité !

Que les Camerounais continuent de ''voir leurs enfants grandir'' pour rembourser les dettes odieuses ou fuir pour aller grossir les rangs honteux de l'immigration au Canada.

À vous, les femmes de la "modernité" qui brandissez le mot "Indépendance" comme un trophée de guerre-là, vous faites comme si vous venez de découvrir ce mot subitement. Sachez que nos mamans et nos grands-mères le connaissaient déjà, version femme-fondation, plusieurs décennies avant votre réincarnation sur terre, via leur ventre.

Ce que mes propres yeux ont vu dans les années 70-80 à Bafoussam, ce sont elles qui remplissaient le grenier et le magasin de la cuisine. Et lorsqu'ils étaient vides, elles s'inquiétaient :

« Ils (les enfants et leur père) vont mourir de faim !»

Sans attendre que le père ou le grand père réagisse, elles se levaient tôt pour aller au champ. Elles revenaient chargées de trois pousse-pousses de nourriture.

Mais avant d'arriver à la maison, elles s'arrêtaient au marché pour vendre une partie de la récolte et acheter ce qu'elles ne pouvaient produire au champ. Sans oublier d'acheter le tabac du père et sa cola.

Je sais que les personnes qui regardent le doigt quand on leur montre la Lune et qui se plaignent ensuite qu'on ne leur a pas bien montré, rétorqueront :

« Et l'homme dans tout ça, ils faisaient quoi ? Donc ça fait longtemps que les hommes vivent aux crochets des femmes !? La femme a toujours été l'esclave de l'homme, aujourd'hui quand elle tente de se libérer et se prendre en main, ça vous dérange, vous les hommes égoîstes !»

Tant p*s pour les personnes qui ont horreur de leur Histoire, qui ne lisent que la Bible et/ou le Coran, pour qui retourner aux sources du Matriarcat et le grégarisme négro-africain (confère Pr. Bado Laurent, Burkina Faso), c'est "refuser d'évoluer avec son temps."

Je vous laisse dans les bras du capitalisme néo-libéral "féminisant" et finissant.

Je me suis caché dans les herbes et j'ai tout vu. Ce que j'ignore est plus grand que ce que je connais.

INGETA !!!